C'est seulement le 1er brumaire an XI, après neuf ans et demi de grade de lieutenant que Juvénal Corbineau est promu capitaine ; cet avancement peu rapide du début de sa carrière ne devait pas tarder à être vite racheté ; en effet, membre de la Légion d'honneur le 26 frimaire an XII, il devient-chef d'escadron à la légion hanovrienne le 1er pluviôse de l'année suivante, après quatorze mois de grade de capitaine. Il reste fidèle en politique au parti royaliste et, «Plein de respect pour de hautes infortunes», comme il l'écrit au ministre de la guerre, il croit devoir résigner ses fonctions au moment de la révolution de juillet 1830. Le comte de Milhaud. Son aptitude spéciale à l'instruction et au maniement des troupes lui fait confier, le 17 novembre 1824, la mission de réorganiser l'école royale de cavalerie de Saumur dont il devient le commandant. Le général Duval est commandeur de la Légion-d'Honneur et officier de l'Ordre de Léopold. Sa marche hardie au milieu des armées ennemies fut des plus glorieuses pour lui et elle eut des résultats considérables : c'est, en effet, en cherchant à franchir la Bérésina dont tous les ponts étaient gardés par les Russes qu'il découvrit le fameux gué de Studianka, auquel les débris de la Grande Armée allaient devoir leur salut. Références : SHD 24Yc409, Né le 12 juin 1791 à Barbelroth. Retraité le 8 juillet 1848. Ce ne fut que le 7 avril 1809, au moment des préparatifs de guerre contre l'Autriche, que, nommé colonel en second, il reçut l'ordre de conduire le 7e régiment de hussards au 3e corps de l'armée d'Allemagne; il combattit à la tête de ce régiment à Wagram les 5 et 6 juillet, à Znaïm le 10 du même mois, devint colonel du 8e hussards le 10 août, et fut créé baron de l'Empire au mois d'octobre. A la bataille de Mont-Saint-Jean, le 18 juin, sa division, destinée à se porter en arrière de la droite, pour s'opposer à la marche du corps prussien qui avait échappé à Grouchy, eut à soutenir, après les combats de la journée, le premier choc de Blucher, et s'y couvrit de gloire. Le 11 août 1814, il passe au 5ème Régiment de Hussards (matricule n°208). Placé le 8 avril 1811 à la tête de la cavalerie légère de la même armée, il passa à la cavalerie de réserve de la grande armée le 15 janvier 1812. Le 23 décembre 1797 il est nommé commandant de la cavalerie de l'armée d'Angleterre ; Général en chef par intérim de cette armée le 25 mars 1798 puis définitif. Le 1er frimaire an XIII (22 novembre 1804), il entrait à l'École polytechnique dont il suivit les cours jusqu'au 5 thermidor de la même année (24 juillet 1804). – Capitulation de Badajoz. Osterinan et les autres corps russes manœuvraient pour tourner la droite des Français. Ajouter en liste de souhaits. Historique du 1er régiment de Hussards; Historique du 2e régiment de Hussards; Historique du 3e régiment de Hussards; Historique du 4e régiment de Hussards; Historique du 5e régiment de Hussards Historique du 6e régiment de Hussards 15e et 20e régiments de dragons, 21e régiment de chasseurs à cheval, 10e et 19e régiments de dragons, 1er régiment de hussards, 9e régiment de chasseurs à cheval, 10e régiment de hussards. Le 25 février 1811, toujours dans les rangs de la Compagnie d'élite, il passe Maréchal des logis. Nous y avons ajouté les informations communiquées par notre ami Philippe Quentin, extraites des Archives de Vincennes (séries 2yB963 à 966; 24Yc 407). Lieutenant général le 9 avril 1843. J'avais sollicité la place de capitaine aide de camp pour ce jeune et brave officier, qui a fait avec distinction les campagnes de Russie et d'Allemagne et qui fut blessé en Russie en s'emparant d'un point essentiel près de Krasnoe. Surpris d'une attaque aussi vigoureuse, le général russe s'arrêta et engagea un feu d'artillerie. Chargé d'une mission à la fois diplomatique et militaire, le général Oudinot réunissait les meilleures conditions pour la remplir dignement. Cavalerie. Le 8 mai 1814, il déserte. PIerre César Dery monte assez rapidement en grade : il est successivement brigadier-fourrier le 21 mars ou le 8 octobre 1791, sert à l'armée du Nord entre 1792-1794, passe maréchal-des-logis le 1er janvier 1793, et le 7 mars suivant, au combat de Saint-Trond, il s'empare de 2 caissons et reçoit deux coups de sabre. Né à Paris en 1779. Armoiries du baron Schwarz  : écartelé ; le premier d'azur au lion naissant et contourné d'or, coupé d'argent à l'étoile de gueules ; le deuxième des barons militaires ; le troisième parti denché d'argent et de gueules ; le quatrième d'azur au lion naissant d'or, coupé d'argent à l'étoile de gueules. Peu de jours après, un décret, contre les considérants duquel proteste le général Oudinot, élève Forey au maréchalat. Après la révolution de février, son dévouement aux intérêts de l'armée le fait désigner par le gouvernement provisoire comme membre de la commission de défense nationale instituée le 7 mars 1848. Volontaire au 1er bataillon de Paris; sous-lieutenant au 104e d'infanterie, 22 janvier 1792; adjudant-général à l'armée du Nord, 1793; blessé à Neerwinden ; capitaine au 5e hussards, 1795 ; chef d'escadron au 9e hussards, 1797; major du 7e hussards, 1803; Chevalier de la Légion d'Honneur, 1804; colonel du 11e cuirassiers, 1806; Officier de la Légion d'Honneur, 1807 ; tué à Essling, 1809. La commission provisoire que j'ai reçue pour lui de S. A. S. le prince major général, le porte comme capitaine au 9e de hussards. Employé au corps d'observation de la Hollande pendant les années 1810 et 1811, il fit la première partie de la campagne de Russie avec le 1e corps de cavalerie, fut nommé général de brigade à Witepsk, le 7 août 1812, en récompense de sa conduite distinguée aux combats d'Ostrowno, les 25, 26 et 27 juillet, ou la cavalerie, engagée par Murat, fit des prodiges de valeur. Né le 09/03/1779 à Auch (Gers); venu du 22e Chasseurs à cheval; Lieutenant au 5e Hussards le 11/04/1807; Capitaine le 20/06/1809; blessé le 07/09/1812; blessé le 21/08/1813; Chevalier de la Légion d'Honneur le 28/09/1813 (accès à son dossier dans la base Léonore du Ministère de la Culture : Né en 1771 dans le Haut-Rhin; Maréchal des logis à la 4e Compagnie du 5e Hussards; passé dans la Légion hanovrienne an 12. Affecté à la 4e Compagnie (4e Escadron), il va vite démontrer aux anciens que s'il est petit par la taille (1,68 m), c'est un géant par le courage. Dans les conversations que l'esprit et la vivacité de Madame d'Esears animaient particulièrement, on médisait souvent du gouvernement. Il est ensuite envoyé dans divers commandements à l'arrière, dans le Bolonais, le Ferrarais, à Ancône, puis Gênes et Nice. Il commande en chef la cavalerie de l'armée d'Italie (octobre), remplace Bernadotte à la tête de sa Division. Cullau Freyre. Il s'enrôle comme volontaire. Inspecteur général de l'école de cavalerie le 2 septembre 1830. A la suite de la paix d'Amiens, il obtint un congé «pour poursuivre son éducation militaire». Carte postale de manœuvre de Dragons allant au tir. Il reste sans emploi pendant la première Restauration. Né le 02/05/1786 à Paris (Seine); Hussard au 8e Hussards le 13/09/1806; blessé le 06/01/1807 d'un coup de boulet; Brigadier le 06/08/1807; Maréchal des logis le 15/02/1808; Sous lieutenant le 26/04/1809; Lieutenant le 25/09/1812; Chevalier de la Légion d'Honneur le 11/10/1812 (accès à son dossier dans la base Léonore du Ministère de la Culture : Né en 1770 dans l'Yonne; Hussard à la 3e Compagnie du 5e Hussards; Brigadier à la 2e Compagnie le 10/05/1808; reformé le 11/12/1809. Tenue Second Empire: Tenue Troisième République: Les Régiments: 1er Hussards: 2ème Hussards: 3ème Hussards: 4ème Hussards: 5ème Hussards: 6ème Hussards … Nommé une seconde fois Chevalier de la Légion d'Honneur le 23/11/1813. Né le 12/08/1779 à Marseille (Bouches du Rhône); Gendarme d'ordonnance en 1806; Maréchal des Logis le 06/12/1806; Lieutenant au 9e Hussards le 18/07/1807; blessé le 22/05/1809 par un boulet qui lui heurte la fesse droite; Chevalier de la Légion d'Honneur le 16/07/1809 (accès à son dossier dans la base Léonore du Ministère de la Culture : Né le 23/04/1790 à Soultz-sous-Forêts (Bas-Rhin); entré au service le 18/03/1809; a d'abord servi comme Chasseur au 27e Régiment de Chasseurs à cheval, puis comme Hussard au 5e Régiment de Hussards; a quitté le service le 21/07/1815. En 1809, il retourna en Allemagne, reçut une blessure à la bataille de Wagram, et fut nommé officier de la Légion-d'Honneur le 31 décembre de la même année. Il échappa aux désastres de la retraite et fut employé en 1813 au 1er corps de cavalerie de la grande armée. Revenu à Marseille avec d'autres officiers pris en même temps que lui, il y trouva l'ordre de se rendre aussitôt en poste à Bayonne pour y servir comme aide de camp du général Victor Latour-Maubourg. Le commandant de Nadaillac avait été nommé, en novembre 1813, chef d'escadron au 3e régiment des gardes d'honneur, ce qui lui donnait rang de lieutenant-colonel. Sentant plier la fortune impériale, ce général étranger, au lieu de chercher à rejoindre la Grande Armée, comme il lui avait été prescrit, dirigea sa marche vers le Niemen. Il est conscrit de 1811 du canton de Bergzabern et a obtenu le n°19 lors du tirage au sort. IV groupe à cheval du 14e régiment d’artillerie de campagne. Il servit à la grande armée en 1809, et fut nommé commandant de la Légion d'honneur le 14 juin. CAMPAGNES : 1810 : Espagne; 1812 : Russie. Lors de son passage dans cette ville, à l'époque de son couronnement, Napoléon le désigna pour entrer dans les Pages, d'où il passa, le 22/03/1806, dans le 10e hussards en qualité de Sous-lieutenant; Sous lieutenant le 01/04/1807 dans le 5e Hussards. Le 23 août suivant, le collège électoral de la Haute-Vienne élisait député le jeune colonel par 111 voix sur 177 votants. Quand la retraite fut ordonnée, il ramena le reste de son monde en bon ordre sous Paris, passa la Loire le 5 août, et fut envoyé par le maréchal Macdonald à Montpellier pour y préparer le licenciement de 5 régimens de l'armée du Midi. (Moselle); Maréchal des Logis 3e Compagnie 5e Hussards; Sous lieutenant le 11/04/1807; Chevalier de la Légion d'Honneur, Lieutenant le 27/05/1808; retraite le 15/07/1810. Chevalier de la Légion d'Honneur le 1er vendémiaire an XII. Nommé Général de Brigade le 31 mars 1812, il va prendre aussitôt le commandement de Gorée (17e Division Militaire). Passé à la grande armée en Saxe, il mérita, par sa bravoure, le grade de lieutenant qui lui fut conféré le 16 octobre 1813. Dans sa retraite, le général n'oubliait pas un passé tout de liberté et de gloire : les rapports de police le signalent comme mêlé à toutes les agitations de la Restauration et Vaulabelle le cite comme un membre actif du comité d'action de la liberté de la Presse et comme prenant régulièrement part aux séances du Comité directeur de la Haute Vente (Note : Vaulabelle, t. V, page 61, et t. VI, p. 9). Ils dénoncent aussi un bulletin émané du ministre de l'Intérieur et qu'ils jugent offensant pour l'Assemblée. Né en 1791 à Haguenau. C'est ainsi qu'a débuté au régiment Auguste Fesquet, qui, tout le temps qu'il y a resté, n'a cessé de soutenir ce premier trait de bravoure que se fait un plaisir de relater et constater le colonel commandant le 9e régiment de hussards. Il est fils de Jacques et de Frach. Le colonel marquis de Nadaillac demanda à être mis à la suite du 5e hussards, donnant comme raison qu'il en connaissait la plupart des officiers, ayant fait campagne avec eux. Aux événements de 1830, les Montois le nommèrent commandant supérieur de la garde urbaine, et deux mois plus tard général commandant militaire de la province du Hainaut. Les cavaliers espagnols étaient 4.000, les nôtres étaient 800, mais cette disproportion n'était pas pour les arrêter. Il se présente au Dépôt du 5e Hussards le 30 septembre 1798. A Tilsitt, il eut une main cruellement brûlée Grand officier de la Légion d'Honneur depuis le 22/04/1847. GUYOT.» 2e brigade de cavalerie d’Algérie - Mascara. (Bas-Rhin); entré au service le 23/03/1809; a d'abord servi comme Canonnier au 5e Régiment d'Artillerie à cheval puis comme Hussard au 5e Régiment de Hussards; a quitté le service le 09/05/1812; titulaire de la Médaille de Sainte Hélène, Né le 31/08/1779 à Chenvelles (La Vienne); Maréchal des Logis dans les Chasseurs à cheval de la Garde (matricule 296); Sous lieutenant au 5e Hussards le 11/04/1807; mort le 10/09/1808 de la petite vérole, Né en 1772 en Moselle; Hussards à la 8e Compagnie du 5e Hussards; Brigadier le 21/11/1806; rayé le 01/01/1809, Né le 27/10/1771 à Strasbourg (Bas-Rhin); Chef d'Escadron (an XII); Grande Armée en 1805; Chevalier de la Légion d'Honneur le 14/03/1806 ; blessé le 03/05/1806 au combat d'Absensberg; mort le 11/05/1809 à Lantsbult (Landshut ? Son nom est inscrit au côté Nord de l'arc de triomphe de l'Étoile (source complémentaire : SEHRI). Bandes de Champagne 4. Il reçut la croix d'officier de la Légion-d'Honneur le 14 mai 1807. Capitaine commandant de Hussards au corps des volontaires étrangers de Lauzun en 1780, il sert en Amérique de 1780 à 1783. Dès 1810, Auguste Fesquet demandait à reprendre du service dans un régiment et à être envoyé en Espagne. Inspecteur général de cavalerie le 7 juin 1851. Sous-lieutenant en 1767, passé aux Hussards de Conflans en 1776, Capitaine de Hussards dans le corps des volontaires étrangers de la Marine en 1778, Chevalier de Saint-Louis en 1779, il sert au Sénégal la même année. Liste des Régiments Francophones + Evénements - M&B: Warband - Napoleonic Wars - Flying Squirrel Entertainment ... -Suppression du 8e Hussards et de la Légion Irlandaise-Ajout du 46e et des Scots Guards MaJ 20/11/2015-Ajout Division de l'Aigle-MaJ Ve Corps MaJ 2/01/2016-Départ 5e Voltigeurs du IVe Corps -Départ 8ecc et Etoile du Ve Corps / Ajout du 3e de Ligne et 6e Artillerie MaJ … Lui-même a été réélu, le 13 mai 1849, représentant de Maine-et-Loire à l'Assemblée législative, le ler sur 11, par 86,764 voix (104,313 votants, 151,062 inscrits), et représentant de la Meuse, le 4e sur 7, par 34,949 voix sur 52,869 votants, et 92,490 inscrits; il opte pour Maine-et-Loire, Grand officier de la Légion d'Honneur le 12 juillet 1849. Sentant l'importance de passer la rivière, il osa, sur le renseignement vague d'un paysan, la traverser à minuit au milieu des glaces à la tête de sa brigade (20 novembre 1812) et put ainsi apporter à l'Empereur le renseignement inespéré qui lui permit de tromper Tchitchakoff et Kutusow (Note : A Studianka, la Bérésina a plus de 250 toises de large, sans compter les vastes marécages qui bordent ses rives). Le 10 mai de la même année, le 4° régiment de Hussards, ex Saxe-Conflans émigre. Affecté à la 2e Compagnie du 2e Escadron, il se bat à Hohenlinden en 1800, à Austerlitz en 1805, à Golymin en 1806 et à Eylau en février 1807; quelques jours plus tard, il est blessé d'un coup de lance au bras gauche. Lieutenant colonel le 3 septembre 1814. Le 12 mars, à trois heures du matin, la ville est attaquée de tous côtés ; elle fut défendue autant qu'elle pouvait l'être, mais néanmoins, après une résistance plus qu'honorable, sa petite garnison fut obligée de battre en retraite (Note : L'héroïque défense de Reims est narrée dans tous ses détails dans l'intéressant livre de A. Sa formation terminée, Collot est affecté à la 1re Compagnie qui en 1802 deviendra la Compagnie d'élite. Lorrain né à Lixheim le 4 février 1777. il est rayé des états de l'armée. Accès au dossier de Arnaud-François-Léopold-Odille-Sigismond du Pouget, Marquis de Nadaillac dans la base Léonore du Ministère de la Culture : clic, Sous-Lieutenant en 1793 (Etat militaire de France pour l'année 1793), Fils d'Etienne-Ignace de Feldeck, né à Colmar le 20 mai 1776, choisit de bonne heure la carrière des armes et entra comme sous-lieutenant au régiment de Bretagne infanterie, le 6 janvier 1790, à l'âge de quatorze ans. M. le général de Castelbajac, qui a rempli les fonctions d'inspecteur de cavalerie pour les années 1841 à 1847, avait été appelé le 01/10/1844 au commandement de la 11e division militaire, et a été admis à la retraite par le décret du gouvernement provisoire le 17/04/1848. 21 février 1810. Le 30 juin de cette dernière année, il fut nommé sous-lieutenant. 1er régiment Étranger de parachutiste 1er RHP 1er Régiment de Tirailleurs (1er RTir) 1er Régiment Parachutiste d'Infanterie de Marine 1er Régiment de Chasseurs Parachutistes (1er R.C.P.) Ayant senti l'ombre de la guillotine, il prend sagement sa retraite qu'il obtient le 7 mai 1795. - ÉTATS DE SERVICES DE LÉOPOLD DE BEAUMONT. Le 18 octobre, il reçut pendant une revue une dépêche du roi de Naples, qui lui apprenait que Kutusof venait de l'attaquer à l'improviste avec la totalité de ses forces, plus de 100 mille combattants, tandis que Murat n'en comptait que 20 mille. Collection VAUBOURG Cédric, Carte postale du 15ème régiment de chasseurs à cheval à, Châlons-sur-Marne. Né le 22 juin 1772, à Sommieres (Gard), chasseur dans la 15e demi-brigade d'infanterie légère le 20 pluviôse an II, il fit les campagnes de la Révolution jusqu'à l'an IX, aux armées d'Italie, de réserve et à celle d'observation du Midi. Il est Hussard et sert d’abord au 10ème Régiment de Hussards. Le 16 décembre 1814, il rentre des prisons de l'ennemi. Treizième enfant d'Anne-Claude de la Bonninière, comte de Beaumont, et de Marguerite Le Pellerin de Gauville, il est né au château d'Aveny, commune du même nom (Eure), le 17 mai 1791 ; reçu chevalier de Malte de minorité, le 12 mars 1792 ; page de l'empereur Napoléon 1er, en 1809 ; nommé sous-lieutenant au 7e régiment de Dragons, le 17 août 1809 ; passé au 5e Hussards, le 11 septembre 1809 ; lieutenant, le 12 novembre 1811 ; prisonnier de guerre, le 8 août 1812, à Rotina, près Smolensk (Russie); sans renseignements ultérieurs. Le 12 août 1805, il devient Aide de camp de Murat et, à ce titre, effectue les campagnes de l'an XIV et de 1806 en Prusse et en Pologne, et obtint, tout en étant toujours Aide de camp de Murat, le grade de chef d'escadron le 10 février 1806. Comme il n'est pas encore rentré en janvier 1813, un scribe sentimental note sur le registre que Collot s'est "égaré" et il faudra attendre le 31 octobre 1817 pour savoir qu'il est "rentré en France" (Rigo - Le Plumet, planche U13). Affecté à la 2e Compagnie (2e Escadron), il devient Trompette le 28 décembre 1801. - Investissement de Badajoz. Il est fils de François Antoine et de Klein Catherine Barbe. Entré à l'école de Fontainebleau le 29 août 1803. Régiments de Djibouti (6) Régiments de la Réunion (16) ... Fourreaux Hussards 1° Classe. Né le 22/05/1786 à Massongy (Léman); Vélite aux Chasseurs à cheval de la Garde le 20/02/1806; blessé à Eylau; Sous lieutenant au 8e Hussards le 17/07/1807; Lieutenant le 21/05/1812; Chevalier de la Légion d'Honneur le 21/08/1812 (accès à son dossier dans la base Léonore du Ministère de la Culture : Né le 01/02/1794 à Montmorin (Hautes Alpes); Ecole de médecine de Montpellier 1808; Chirurgien Sous aide major le 15/04/1812; pris le 10/12/1812; rentré le 04/11/1814; non activité, Né en 1777 dans le Vaucluse; Trompette à la 8e Compagnie du 5e Hussards; remis Hussard le 01/01/1807; réformé le 22/04/1807. Il est Hussard et sert d’abord au 5ème Régiment de Hussards. Détaché à l'armée de Portugal comme commandant du 4e régiment provisoire de dragons, il fit à la tête de ce corps les campagnes de 1807 et 1808. Il n'est rappelé à l'activité que le 1er octobre 1835; il reçoit alors le commandement de la brigade d'avant garde du corps expéditionnaire de Mascara en Algérie, chargé de venger l'échec éprouvé à la Macta. Né le 17/04/1773 à Pontarlier (Doubs); venu du 7e Hussards; Lieutenant an XIII; passe Aide de camp du Général Thiébault le 20 vendémiaire an XIV (accès à son dossier dans la base Léonore du Ministère de la Culture : Né en 1772 en Mayenne; Hussard à la 7e Compagnie du 5e Hussards; Brigadier le 06/02/1812; égaré en Russie en 1812, Né en 1774 dans le Loire et Cher; Maréchal des logis chef à la 4e Compagnie du 5e Hussards; passé dans la Gendarmerie an 12, Né en 1776 dans l'Aisne; Trompette à la 6e Compagnie du 5e Hussards; Brigadier à la 5e Compagnie le 10/09/1808; Vétéran le 21/08/1811, Lieutenant au 5e Hussards le 09/02/1813; Lieutenant aux Chasseurs à cheval de la Jeune Garde le 13/08/1813, Né en 1774 dans le Loir et Cher; Hussard au 5e Hussards 4e Compagnie; Chevalier de la Légion d'Honneur an 13; pris le 24/02/1807; rayé le 30/06/1808, Né en 1770 en Indre et Loire; Hussard à la 1ère Compagnie du 5e Hussards; Brigadier le 12 frimaire an 14; Maréchal des logis le 18/04/1807; tué en Russie le 10/09/1812, Aide de camp de Davout; Chef d'escadron au 5e Hussards le 15/07/1807; mort à Paris le 10/10/1808, Né le 15/03/1787 à Lyon (Rhône); Gnedarme d'ordonnance le 15/10/1806; Chasseurs à cheval de la Garde impériale le 06/01/1807; Sous lieutenant au 5e Hussards le 07/09/1812 à la Moskowa et mort le même jour. Colonel du 8ème régiment de Chasseurs à Cheval le 19 janvier 1812, Général de Brigade le 26 avril 1814, Lieutenant-général le 3 octobre 1823, admis dans le cadre de la réserve en 1831, retraité en avril 1848, Chuquet écrit en citant les Mémoires du Colonel Combe qui servit sous ses ordres : «louant ses qualités éminentes, bonnes manières et générosité, courage et sang-froid». Un biscaïen qui passa entre son corps et son bras gauche lui occasionna une forte contusion. Dans la campagne de l'an II, on le vit passer à la nage le canal de Malines pour sauver le général Proteau, tombé entre les mains des émigrés, et, quoique blessé d'un coup de sabre à la tête, il ramena cet officier dans les lignes françaises; quelques jours après, pendant le blocus de Nimègue, il reçut une nouvelle blessure. - Bataille de la Gibora (Mendizabal). A Gand 1815. On connaît le récit de cette journée, nous rappellerons néanmoins le rôle qu'y jouèrent les dragons : le 18 novembre, Sébastiani s'était rapproché du Tage avec les 5e, 6e et 20e régiments de cette arme. Cité à cette occasion comme un officier général de cavalerie de la plus haute espérance, l'Empereur l'éleva au grade de général de division le 14 du même mois. (Bas-Rhin); entré au service le 15/11/1808; a servi comme Hussard au 5e Régiment de Hussards; a quitté le service le 21/09/1813; titulaire de la Médaille de Sainte Hélène, Né en 1778 à Avolsheim (Bas-Rhin), Conscrit entré au service comme Hussard au 5e Régiment de Hussards le 14/09/1798, servant en 1805 à la 8e Compagnie du 4e Escadron (Division Kellermann), blessé d'un coup de sabre au poignet droit le 02/12/1805 à Austerlitz, entré à l'hôpital le 28/01/1806, mort à l'hôpital de Sankt-Pölten le 07/02/1806 par suite de sa blessure et de fièvre (Source : Quintin - Austerlitz), Né le 28/11/1783 à Gand (Escaut); Maréchal des logis chef (N°1391); Sous lieutenant le 16/10/1813; rentré dans ses foyers le 11/08/1814, Né le 09/07/1789 à Herrlischeim ?
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